Suisse | Fribourg

La chocolaterie Cailler de Broc est l’une des rares chocolateries que nous pouvons visiter en Suisse, il y a la chocolaterie Camille Bloch, mais il faut s’inscrire (imprimer un PDF à retourner, voit cette page). Cailler est donc la seule fabrique à se visiter facilement et ils ont mis en place un circuit pour les visiteurs. En 2006, j’avais déjà visité cette usine, mais j’étais resté sur ma fin, non pas de chocolat, vu la dégustation à volonté, mais le circuit était maigre et on ne voyait rien de la fabrique. Depuis 2010, tout a été repensé (même les horaires, désormais 7/7 jours) et c’est un nouveau circuit.
Profitant de la visite d’un de mes frères, nous partons pour Broc (à côté de Bulle et du village de Gruyères).
En résumé le nouveau circuit m’a emballé (10.- CHF par adultes, gratuit pour les enfants de moins de 16 ans), on circule dans une série de maquettes animées. C’est dynamique, coloré par des jeux de lumières. Il y a aussi une chaine de fabrication exposée (mini branches), excellent, une vue sur l’usine et bien sûr à la fin la dégustation à volonté (on peut y rester tout le temps nécessaire, mais il faut manger sur place). Je fus surpris par le goût différent du chocolat au lait, cela semble venir de la fraicheur et du non emballage. Il y a un atelier chocolat, mais il faut s’inscrire à l’avance.
A la sortie un magasin de vente des produits, les prix ne sont pas spécialement intéressants.
Pour l’histoire du chocolat, la page de Wikipédia est à recommander.
Pour finir la journée, rien de tel qu’une fondue moitié-moitié (indétronable) au village de Gruyères (le nom du village prend un s, la région et le fromage non) et une petite meringue double crème, soyons fou !
Il y a une fromagerie de démonstration en bas du village, on s’est contenté de voir le robot brosseur de fromage, je peux rester des heures voir ce robot (un nouveau modèle) brosser avec amour les meules.
D’un point de vue technique, j’avais pris mon reflex, muni de mon objectif le plus lumineux, 35 mm focale fixe (f/1.8) afin de travailler confortablement sans flash (le flash n’est pas interdit, mais je préfère les photos sans lui). Au restaurant un zoom grand-angle (10-20mm) a pris la relève.